lundi 25 mai 2015
Monuments de la Cité impériale de Huê décorés de poèmes
Un dossier de candidature a été établi pour que les textes qui ornent les monuments royaux de l’ancienne Cité impériale de Huê (Centre) soient inscrits au Registre Mémoire du monde de l’UNESCO. Ils ont été l’objet d’un récent séminaire, qui s’est déroulé à Huê.
Le Comité populaire de la province de Thua Thiên-Huê (Centre) a décidé de demander au Centre de conservation des vestiges de Huê d’établir un dossier de candidature concernant les poèmes et textes en hán (caractère chinois) qui ornent les monuments royaux de Huê. Le but : que ces œuvres soient inscrites au Registre Mémoire du monde de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO).
«Les palais, temples, murailles et mausolées de l’ancienne Cité impériale de Huê ont été construits en parfaite harmonie. Ces bâtiments ont été reconnus par l’UNESCO en tant que patrimoine culturel mondial en 1993. Leurs décorations, variées, sont aussi typiques de ce patrimoine culturel mondial, notamment les poèmes et textes qui décorent les monuments royaux de la dynastie des Nguyên», a indiqué le Dr Phan Thanh Hai, directeur du Centre de conservation des vestiges de l’ancienne Cité impériale de Huê, lors d’un récent séminaire qui a réuni experts et responsables de monuments culturels à Huê.
Les textes inscrits sur les monuments de l’ancienne Cité impériale de Huê, entre 1802 et 1945, ont été sélectionnés à partir des écrits des rois, princes et mandarins des Nguyên. Ils ont été gravés, laqués, émaillés ou mis en relief sur du bois, de la nacre, de la céramique ou de la faïence.
«Il reste aujourd’hui 2.967 panneaux de bois où sont gravés des poèmes et des textes, dorés ou nacrés, 146 panneaux de cuivre et 78 panneaux où les textes prennent la forme de mosaïque. Tous sont intacts. Selon les procès verbaux de restauration, aucun panneau n’a été remplacé», a ajouté M. Hai.
Le palais de Thái Hoà compte 242 panneaux où sont gravés des poèmes dorés, dont trois dans la salle principale. Ils sont considérés comme la déclaration de la dynastie des Nguyên sur la souveraineté, l’édification et la défense du pays.
Sept caractéristiques importantes
L’ensemble de ces poèmes et textes en hán sont un patrimoine documentaire original. L’élaboration du dossier de candidature au Registre Mémoire du monde a pour but de mieux faire prendre conscience de leur valeur au niveau national et ainsi de les conserver et de les préserver. Avant de les valoriser.
«Une étude sur le contenu et les valeurs culturelles, l’esprit et les mesures de protection des œuvres littéraires des monuments royaux de Huê est menée depuis les années 1980, a indiqué le Pr-Dr Luu Trân Tiêu, président du Conseil du patrimoine culturel national. Ces œuvres répondent à tous les critères de l’UNESCO pour devenir un patrimoine documentaire du programme Mémoire du monde».
D’un point de vue littéraire, le Dr Nguyên Tuân Cuong, directeur adjoint de l’Institut de recherche Hán Nôm, a présenté sept caractéristiques importantes de ces poèmes et textes : l’originalité, l’unicité, l’utilisation des matières et la décoration des caractères, le choix subtil des caractères en hán, la valeur documentaire, l’art et enfin la variété des genres littéraires.
La présidente du Comité national du programme Mémoire du monde du Vietnam, la Dr Vu Thi Minh Huong, a contribué à l’élaboration et à la défense du dossier. Elle a souligné l’importance de l’unicité et de la variété de ces écrits. Elle a également demandé au Centre de conservation des vestiges de l’ancienne Cité impériale de Huê de perfectionner le dossier en se basant sur les caractères et les indications de l’UNESCO, afin de le présenter au plus tôt au Comité national du programme Mémoire du monde du Vietnam, qui le soumettra ensuite au Comité national de l’UNESCO Vietnam.
Tous les intervenants au séminaire ont évidemment souhaité que le dossier concernant l’ensemble des poèmes et textes des monuments de l’ancienne Cité impériale de Huê soit reconnu en tant que patrimoine documentaire du programme Mémoire du monde de l’UNESCO. Ces milliers de poèmes et textes en hán sont des traces de l’histoire, de la culture et des arts d’une époque de l’histoire du Vietnam.
mercredi 20 mai 2015
Circulation et transport au Vietnam
Compte tenu de la physionomie du pays, l'avion est un des modes de transport les plus fréquemment utilisé. La compagnie nationale Vietnam Airlines assure des liaisons régulières entre les principales villes du pays avec, pour certaines, plusieurs vols par jour. Ce mode de transport est à envisager si vous disposez de peu de temps.
Si vous choisissez le train pour certain de vos déplacements, vous y découvrirez une ambiance très populaire et par là même, un moyen insolite de visiter le Vietnam. La principale voie ferrée relie Hanoi à Ho Chi Minh Ville (et vice versa) en 30h à 40h environ, et dessert la plupart des gares du parcours. Une autre ligne permet de rejoindre les montagnes du nord-ouest en train de nuit couchette au départ de Hanoï. Il faut savoir que la vitesse moyenne sur l'ensemble du réseau ferroviaire est de 50km/h. Nous privilégions les trajets en train pour rejoindre les Montagnes du Nord ou pour les courtes distances dans le centre du pays.
Le réseau routier est en constante amélioration et les projets de routes à 4 voies sont nombreux, notamment à la sortie des grandes villes du pays. L'état des routes secondaires, principalement dans les régions de montagnes et de hauts plateaux, est plus inégal mais là encore tout va très vite. Cependant, comme pour le train, la vitesse moyenne n'excède pas 50km/h sur l'ensemble du réseau routier. Certains transferts par la route peuvent s'avérer assez longs et fatigants. A noter qu'après de fortes pluies, il arrive que certaines routes de montagne soient impraticables car la chaussée est déformée ou des éboulis obstruent le passage. Votre chauffeur ne vous fera jamais prendre de risque. S'il juge que la route est impraticable, il vous fera prendre un autre chemin quand cela est possible. Dans le cas contraire, vous reviendrez sur vos pas pour passer quand la route sera dégagé. Si vous privilégiez le voyage en voiture, vous disposerez d'un chauffeur pour vous conduire. Car ni le permis de conduire de votre pays, ni le permis de conduire international ne sont reconnus au Vietnam.
Seul, à plusieurs, chargés d'objets parfois volumineux (frigo, vitres, animaux....) ou d'objets non identifiés, la moto est le mode de transport le plus utilisé par les vietnamiens. Cela engendre d'ailleurs des embouteillages monstres dans les grandes métropoles aux heures de pointe. Et même si le casque est devenu obligatoire depuis décembre 2007, les accidents sont fréquents. Nous vous déconseillons fortement la location d'une moto sans être accompagné par un guide motard spécialisé. La conduite locale, à grand renfort de klaxons, n'obéit pas à la logique de circulation occidentale. Conduire peut s'avérer très dangereux pour les non initiés. De plus, nous vous signalons que la plupart des assurances de voyage ne couvrent pas les accidents survenus en moto.
Parallèlement, et bien qu'elles soient taxées à 100% au Vietnam, le nombre des voitures particulières est en constante augmentation. A savoir : les taxis sont nombreux et peu chers par rapport à l'Europe ou au Québec. C'est donc un moyen de transport facile et sûr pour les trajets urbains et vos sorties le soir.
mardi 12 mai 2015
Quoi prendre dans sa valise Vietnam
Se protéger des intempéries
Selon la saison et les régions que vous visiterez, il faut absolement prévoir de se protèger :
- du soleil (crème solaire, chapeau et lunettes de soleil)
- du froid (gants, bonnet et écharpe sont de rigeur)
- de la pluie (un bon parapluie, un imperméable léger et quelques chaussettes de rechange)
Un sac à dos et les indispensables du quotidien
Un petit sac à dos sera très pratique lors de vos excursions pour emporter avec vous les indispensables du quotidien :
- Votre appareil photo et caméra, ainsi que tous leurs accessoires (pellicules ou cartes mémoire supplémentaires, piles ou chargeur)
- Les cartes de la ville que peut vous fournir votre hôtel
- Du papier toilette car les toilettes vietnamiennes en fournissent rarement
- Un peu de lecture pour les attentes et les trajets
- Une petite bouteille d’eau que vous achèterez sur place
Une trousse de toilette de voyage
L’hotel vous fournira : serviettes, savon, gel douche et shampoing, brosses à dent et dentifrice, rasoir jetable et mousse à raser et un sèche cheveux.
Il vous suffira d’emmener vos effets personnels tels que :
- Maquillage et démaquillant
- Rasoir électrique
- Crème hydratante
- Déodorant
- Coupe-ongles
Tenues vestimentaires
Durant le printemps (du mois de Mars au mois de Mai) et l’automne (de Septembre à Novembre), une simple veste ou un petit pull suffit par-dessus des vêtements légers. En été entre Juin et Août, le temps est assez chaud donc il est possible de sortir légèrement vêtu. En hiver (de Décembre à Février), vous aurez besoin d'une veste doublée ou d'un pull assez épais dans les régions du Nord.
Trousse médicale de voyage :
En cas de traitement médical en cours, vérifiez que vous disposez de vos traitements habituels en quantité suffisante pour toute la durée de votre séjour ; nous vous conseillons également d’emmener séparément les notices afin d’avoir le nom scientifique de la substance active ; en cas de besoin, il sera plus facile pour les pharmaciens vietnammiens d’identifier ce qu’il vous faut.
Si vous transportez avec vous des seringues et/ou des aiguilles pour raison médicale, pensez à demander à votre médecin traitant un certificat médical (en anglais). En cas d'oubli, le passage en douane peut s'avérer délicat.
Eventuellement, prévoyez d’emmener avec vous une ordonance en CDI (Dénomination commune internationale) qui fait référence aux molécules et permet d'être lue par les médecins de tous les pays.
Pour les prévoyants, ces quelques médicaments pourront vous être utiles :
- Un médicament contre les nausées, les vomissements et le mal des transports
- De l’aspirine ou du paracétamol en cas de douleurs, de fièvre
- Un produit contre les piqures de moustiques et autres démangeaisons
- Un anti diarrhéique et un réhydratant, en cas de diarrhée
- Un antiseptique ou un désinfectant pour les coupures et les égratignures superficielles
- Quelques pansements pour les coupures, égratignures, cloques ...
- De la crème grasse pour soigner les coups de soleil
- Des comprimés pour stériliser l’eau
Cependant, si vous ne souhaitez pas vous encombrer, vous pouvez trouver tout ces médicaments dans les pharmacies vietnamiennes.
Documents de voyage
N’oubliez surtout pas l’essentiel : votre passeport, votre visa et vos billets d’avion.
Pensez également à vérifier les dates de validité de votre passeport et de votre visa.
Une photocopie sur papier et/ou informatique (sur une boite e-mail par exemple) de votre passeport, de votre visa, de vos billets d’avion vous facilitera les démarches administratives en cas de perte ou de vol.
Enfin, renseignez vous auprès de votre banque sur les chèques voyage, les conditions d’utilisation de votre carte banquaire à l’étranger ...
Et surtout ne vous inquiétez pas; en cas d’oublis, pas de panique, on trouve sur place des produits de qualités à bas prix.
mercredi 6 mai 2015
La monnaie et la banque au Vietnam
La monnaie nationale est le dông (Dg).
Au printemps 2010, 1 € valait environ 25 000 Dg (dôngs) et 1 US$ environ 18 700 Dg. Pour nos amis suisses et canadiens, 1 Fs vaut environ 17 400 Dg et 1 $Ca dans les 18 000 Dg.
Bien sûr, ces taux de change donnés à titre indicatif connaissent sans cesse des variations, mais l'inflation ayant désormais tendance à se stabiliser, ils suivent le mouvement et ne varient plus aussi brutalement que par le passé.
Devises étrangères
La monnaie étrangère la plus courante au Vietnam est le dollar américain. L'euro est néanmoins très courtisé. Il est changé sans problème partout dans le pays. Francs suisses et dollars canadiens le sont dans la plupart des bureaux de change (mais pas tous).
Une loi stipule que tout doit être payé en dôngs, mais on ne peut pas dire qu'elle soit appliquée à la lettre ! Dans la pratique, on peut parfois payer en dollars ou en euros. Dans l'industrie touristique, les prix sont d'ailleurs souvent énoncés et/ou affichés en dollars.
- Conseil : évitez de régler vos achats en dollars. D'une part, la banque centrale vietnamienne en est inondée, d'autre part, la conversion des dôngs en dollars s'arrondit toujours à votre désavantage. C'est également le cas pour l'euro.
Banques
En règle générale, dans toutes les villes, grandes et moyennes, où elle a des bureaux, la
Vietcombank accepte les devises étrangères en espèces, les chèques de voyage et les cartes de paiement (surtout Visa et MasterCard). Dans tous les cas, toujours se présenter muni de sonUSDpasseport.
L'infrastructure bancaire et financière est un peu plus avancée à Hồ Chí Minh-Ville qu'à Hanoi.
- Les banques ouvrent généralement de 7 h 30 à 11 h (ou 11 h 30) et de 13 h 30 à 16 h (ou 16 h 30), tous les jours en semaine, et parfois le samedi matin. Elles sont fermées le dimanche.
Change
Nous vous conseillons de changer vos devises progressivement et non pas en une seule fois, et de garder toujours sur vous des petites coupures. En effet, il n'est pas toujours facile de payer avec de trop gros billets.
Changer de préférence dans les banques ou les bijouteries (euros ou dollars), plutôt que dans les hôtels.
Normalement, il n'y a pas de commission sur le change. Recomptez toujours la somme que l'on vous remet, sauf si elle est comptée par une machine, ce qui est fréquent.
Chèques de voyage
La plupart des banques les acceptent, notamment à Hanoi, à Hồ Chí Minh-Ville et dans les villes touristiques. Dans le reste du pays, la Vietcombank est souvent la seule à les changer.
Dans des lieux reculés, impossible de changer des chèques de voyage mais on trouve des distributeurs acceptant les principales cartes de paiement.
La commission bancaire prélevée sur les chèques de voyage varie de 0,5 % (Vietcombank) à 3 %.
Cartes de paiement
On trouve désormais des distributeurs partout dans les moyennes et grandes villes, et de plus en plus d'hôtels acceptent les cartes de paiement. Reste que la plupart des commerces appliquent une commission, souvent de 3 %, parfois un peu plus.
mardi 5 mai 2015
Les pourboires au Vietnam
Il est d'usage de donner un pourboire aux guides. Certes, ceux-ci sont très mal payés, mais ce qu'ils obtiennent des touristes multiplie de nombreuses fois leur paie initiale. Pour le guide, 2 € par jour suffisent (un peu plus si vous êtes très content). Sur plusieurs jours, c'est dégressif. Compter la moitié moins pour le chauffeur (sinon, vous vexerez le guide !).
Parfois le pourboire semble comme un dû, indépendamment de la qualité de la prestation rendue ! À vous d'être ferme. Petit pourboire également pour les bagagistes des hôtels.
Concernant les cyclo-pousses, s'en tenir au prix convenu. Un petit pourboire supplémentaire ne peut être lié qu'à sa gentillesse. En principe, pas de pourboire dans les cafés et dans les restos. En laisser un est affaire d'appréciation personnelle.
Dans les temples et les pagodes, là il ne s'agit pas de pourboire, mais de contribution au culte, à l'entretien des lieux, etc. Il est de très bon ton de laisser quelques dôngs dans l'urne.
Fête du culte de Notre Dame du Pays du mont Sam
Le Comité populaire de la province d’An Giang (Sud) a organisé le 8 juin la cérémonie d’accueil du certificat du patrimoine culturel immatériel national pour la Fête du culte de Notre Dame du Pays du mont Sam. La cérémonie a eu lieu au temple de Notre Dame du Pays du mont Sam, dans la ville de Chau Doc (province d’An Giang).
La fête du culte de Notre Dame du Pays du mont Sam porte les caractéristiques culturels des habitants du Sud. Cette fête se déroule chaque année entre les 22e et 27e jours du 4e mois lunaire, qui marque le début des travaux champêtres. Elle exprime le vœu d’une belle moisson. Chaque année la fête attire environ 4 millions de pèlerins qui veulent contempler la statue de Notre Dame et toucher ses pieds pour être bénis. Cette fête a été reconnue en 2001 "fête de niveau national".
La fête comprend des rites traditionnels dont la procession de la statue de Notre Dame puis la cérémonie de purification de celle-ci, qui est la plus importante. Il y a aussi de nombreuses activités culturelles remarquables telles danses du dragon et de la licorne, course de pirogues, représentations d’arts traditionnels des Khmers.
Selon Huu Ngoc (A la découverte de la culture vietnamienne, Editions The Gioi, Hanoi - 2011), la tour principale du temple de Notre Dame du Pays du mont Sam, alliant tradition et modernité, évoque la forme d’une fleur de lotus épanouie. A l’origine, vers les années 20 du 19e siècle, ce n’était qu’une construction rudimentaire en bambou et en feuilles. D’après la légende, quand le délégué royal Thoai Ngoc Hau (1761-1829) fit défricher la région pour la culture du riz, les villageois trouvèrent au sommet du mont Sam une statue de pierre. Ils ne réussirent pas à la descendre en bas. Survint une femme médium qui, entrant en transe, déclara : « Je suis Notre Dame du Pays, Déesse Mère. Pour me transporter, il faut neuf vierges ». Ainsi fut fait. La statue, une fois au pied de la montagne, ne bougea plus. A cet endroit, son temple a été bâti. D’aucuns prétendent que l’initiative de la construction revint à Madame Thoai Ngoc Hau qui avait ainsi voulu remercier la Déesse d’avoir protégé son mari guerroyant à la frontière.
Actuellement, le ministère de la Culture, des Sports et du Tourisme et la province d’An Giang déploient le projet de développement du tourisme de la zone du mont Sam (ville de Chau Doc, An Giang) d'ici 2020, vision 2030. Ce projet permettra de mieux gérer et exploiter le site, d'attirer des investisseurs.
La province d'An Giang compte 1.198 monuments historiques, culturels dont 26 reconnus patrimoines nationaux et deux patrimoines nationaux spéciaux que sont le site de commémoration du président Ton Duc Thang (1888-1980) situé dans la commune de My Hoa Hung, ville de Long Xuyen, et le site des vestiges de la culture d'Oc Eo (1er au 7e siècles), dans le bourg d'Oc Eo, district de Thoai Son.
Cuisine et gastronomie au Vietnam
La cuisine vietnamienne est délicieuse et variée. Les cuisines du Nord et du Sud sont différentes . A Hanoi , on sert des salades à base de liseron d’eau, tandis qu’à Hô Chi Minh ville, les plats sont gras et plus sucrés. Le riz qui remplace le pain, constitue la base du repas vietnamien : il se consomme nature, parfumé ou gluant. Le Vietnam est riche en poissons, crustacés et fruits de mer. La viande reste un peu chère . Cependant on trouve aisément porc, poulet, canard, pigeon, buffle et plus rarement le bœuf et l’agneau.
Le Vietnamien est comme le Français : un bon vivant. Le moment du repas est très important. Cependant, quelques précautions s´imposent. En règle générale, les conditions d´hygiène sont bonnes dans les restaurants. Soyez un peu plus attentif dans les petites échoppes aux coins des rues. : évitez les légumes, herbes et fruits crus.
Boissons : Le thé vert est servi chaud en toute occasion. On trouve du lait de coco, des bières locales légères, des jus de fruits servis frais. L’alcool de riz est présent à tous les banquets et cérémonies. Les vins chinois, l’eau minérale en bouteille, et les sodas importés. Le café est de bonne qualité.
Rappel : Il est recommandé de boire de l´eau en bouteille capsulée. On s´abstiendra également de consommer des glaçons. En ce qui concerne l´eau minérale, on vérifiera que la bouteille n´a pas été ouverte.
lundi 4 mai 2015
Le 6e festival des fleurs de Da Lat 2015
Le 6e festival des fleurs de Da Lat 2015 aura lieu du 30 décembre 2015 au 3 janvier 2016 dans la ville du même nom, province de Lâm Dông (Hauts Plateaux du Centre).
De nombreuses activités culturelles et artistiques sont prévues dont un "espace des fleurs", une exposition, un carnaval, des colloques... La cérémonie d’ouverture aura lieu Place Lâm Viên, et sera retransmise en direct sur la chaîne VTV1.
Ce festival est un grand événement culturel afin de promouvoir la marque "Da Lat - Ville touristique", "Ville de festival des fleurs du Vietnam". L’occasion aussi d’honorer les professionnels du secteur qui ont largement contribué à la célébrité de la ville.
Nulle part en effet au Viet Nam, on peut trouver un espace qui ressemble à Da Lat. Ici, les fleurs s’épanouissent toute l’année, en toutes saisons. Bénéficiant d’un climat à la fois tropical et tempéré, la ville est devenue une terre fertile et ouverte, capable d’accueillir toutes sortes de fleurs d’origine autochtone comme exotique, du monde entier.
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